F3 Indemnisation Refusée
La plupart des Roms et Sinti ne recevaient aucune indemnisation pour les biens perdus ou détruits, notamment leurs maisons. Souvent, les maisons des Roms étaient construites sur des terrains communaux et, en général, ils ne savaient pas qu’il fallait les enregistrer dans le cadastre. C’est pourquoi, après la guerre, la majorité des survivants ne possédaient aucun papier offi ciel attestant qu’ils avaient possédé une maison ou que leur maison avait existé.